L’exploitation excessive faite par l’être humain a entraîné des changements importants sur la nature. En termes d’agriculture, les pratiques évoluent au fur et à mesure que l’environnement qui l’entoure change. La pratique traditionnelle d’il y a une trentaine d’années de cela n’est plus acceptée. Ces changements erratiques du climat et de la santé de la terre amènent à un éveil des esprits. L’agriculture écologique est maintenant la technique de production agricole la plus utilisée. Il s’agit là d’une méthodologie qui rallie l’agroécologie et l’agriculture biologique. Ce sont deux principes qui n’auraient pas vu le jour si la conscience de respect envers les animaux et la terre n’aurait pas été éveillée. Comme quoi, il faut à la race humaine une catastrophe naturelle pour améliorer ses habitudes. Sur ce, le fondement de base de l’agriculture écologique est donc composé des principes de respect de la nature, des animaux et de l’utilisation d’intrants non-nocifs pour l’environnement.
Le principe de l’écologie, le pilier
La méthodologie anciennement utilisée pour produire avait comme principal objectif de produire intensivement. La seule chose qui comptait était la quantité produite. Avec un environnement plus fébrile et un écosystème en danger, l’agriculture bio est née. Dans les démarches de ce dernier, il est avant tout question de protection de mère nature et d’équilibre entre celle-ci et l’Homme. Cela permettant ainsi d’assurer une certaine continuité dans la santé du sol exploité et de la santé du cycle de vie en soi de la nature. Il est donc de premier ordre que l’impact environnemental de l’exploitation des animaux et de la terre soit rendu à son minimum. Les récoltes d’une saison doivent ainsi être consommées par le marché local. En exportant les produits d’un élevage donné, l’empreinte carbone augmente et les efforts deviennent vains. Dans ce sens que ce qui est pris de la terre doit le lui être rendu. Obtenir quelque chose de gratifiant de ce dernier et de lui retourner quelque chose de nocif est tout le contraire de l’équilibre visé. Pour en savoir plus, visitez agrivert.fr.
Le développement durable au centre de l’agrobiologie
Après la succession des guerres et instabilités mondiales, la production industrielle et agricole étaient lancée de plein fouet. Ces quelques années durant, mettaient en effet un stop à la performance d’un pays à produire. Remettre le train sur les railles était l’objectif principal. Personne n’avait ainsi pensé à l’avenir. Les conséquences de ces actions jugées nécessaires étaient impensables. En puisant ces principes fondamentaux dans différentes méthodes d’agricultures, surtout dans l’agriculture traditionnelle, ce qui différencie l’agriculture écologique à ce dernier est que cette nouvelle méthode vise à allonger la durabilité de la vie et de la nature. En imaginant que les producteurs continuent l’agriculture traditionnelle, cela signerait la fin de toute forme de vie sur terre d’ici plusieurs millénaires. L’air, dans cette époque future, serait irrespirable. Les vastes parcelles de terre, cultivables autrefois, auront perdu leur exploitabilité et deviendraient stériles. La race humaine ne pourra compter que sur les produits transformés pour survivre. Une situation qui donne la chair de poule rien qu'en l’imaginant.
L’éthique et l’intégrité dans l’agriculture moderne
Dans cette pratique moderne d’agriculture bio, les cultivateurs mettent en avant l’équité entre les animaux à reproduire, la terre cultivée et les cultivateurs eux-mêmes. Le respect des autres, animal, végétal, ou être vivant, est devenu un pilier dans la production agricole. Tout le monde est traité en tant qu’égal et personne n’est inférieure à son voisin. La production dans la droiture et la promotion des techniques éthiques favorisent ainsi une certaine intégrité que ce soit dans les échanges sur le marché ou entre collègues de fermes. De plus, la maltraitance est fortement interdite dans ce type d’agriculture moderne.